Dimanche 31 juillet 2011.

Rendez-vous 9h 50 Parking de l'église de Saint Jean.

Direction Forêt Domaniale de Montceaux.

Pour échauffer les muscles, un grand tour sur le chemin de halage entre le pont de Saint Jean-Changis et le restaurant du "Beau Rivage".

Puis grimpons le coteau boisé par le chemin des Brûlis dégagé et ré-ouvert par une équipe de 5 bénévoles depuis seulement quelques mois.

"Nous remercions la municipalité de Saint Jean pour l'aide précieuse qu'elle a apporté à nos bénévoles lors de ces travaux de déblaiements et pour le dernier nettoyage d'il y a quelques semaines.

Maintenant pour que ce chemin demeure praticable, il nous reste à l'empreinter le plus souvent possible et c'est ce que nous faisons dès que notre emploi du temps nous le permet."

A la sortie du bois nous arrivons sur la Dhuys que nous suivons sur notre droite jusqu'au cimetière de Montceaux les Meaux.

Puis c'est le retour par le G.R. (chemin de grande randonnée) empruntant le vieux pavé d'Henri IV (ancienne voie gallo-romaine reliant Montceaux à St Jean).

 Photo Jean-Pierre S.

Après 2 heures de balade nous regagnons nos véhicules laissés Parking de l'église.

Encore une belle balade.  

Chantal Schuller, votre guide.

Mes sources :

http://www.750g.com/fiche_de_cuisine.2.123.17900.htm

Sentier meulier du Bois de la Barre.

Mercredi 27 Juillet 2011. 

Rendez-vous 13h 45 Théâtre de La Ferté sous Jouarre avec nos amis des "Balcons de Beauval".

Après quelques explications données par Chantal sur le thème qu'elle avait choisi "l'extraction de la pierre meulière au XIXème siècle", nous prenons la grande allée reliant le théâtre au kiosque à musique, témoins d'un fastueur passé de la ville.

A la hauteur de la bibliothèque, nous rejoignons le quai des Anglais et empruntons le Pont. 

De l'autre côté nous longeons le bord de Marne jusqu'au Port de plaisance, montons rue des Vannes vers le cimetière en direction de la Gare.

Une légère bruine nous accompagne et bientôt nous oblige à mettre la cape.

C'est l'ascension vers Favières par la rue d'Hugny jusqu'au bout de la rue des meulières.

Nous prenons la direction de la Ferme de Marcy et tournons à gauche juste avant celle-ci.

Nous nous situons entre la vallée de la Marne et celle du Courtablon avec de beaux panoramas.

Arrivés rue de Lizy, la pluie cesse. Nous tournons à gauche vers le Limon pour entrer dans le Bois de la Barre à Rosebois.

Nous n'accédons pas par l'entrée principale donc, pour changer, nous faisons la visite à l'envers. 

Vers 16h nous sortons du bois au lavoir de Morintru et nous installons sous l'abri bus pour le goûter.

Nous échangeons nos pâtisseries et Suzanne nous offre le café. 

16h 30, il est temps de repartir par le haut du hameau qui nous offre un magnifique panorama sur la vallée de la Marne. En face nous admirons Sammeron et plus bas Ussy.    

Nous regagnons le bord de Marne par la rue blanche, la passerelle et la route d'Ussy.

Nous poursuivons au bord de la rivière jusqu'au vieux pont que nous empruntons pour regagner nos véhicules.

Il est 17h 30, d'après le podomètre d'André, nous avons fait 12 km.

Encore une belle balade très intéressante.

Sentier meulier du Bois de la Barre

Cet ancien lieu d'extraction de pierres meulières, ce site à flan de coteau est un lieu idéal pour les randonneurs.

Depuis 2003 le Conseil Général de Seine et Marne et la municipalité de La Ferté sous Jouarre ont ouvert un « Espace Naturel Sensible du Bois de la Barre » qui offre un parcours pédagogique pour découvrir la faune la flore et bien sur le travail réalisé sur cette pierre extraite de cette terre.

Ce circuit pédagogique permet au promeneur de découvrir ce site historique et écologique.

Le boisement du Bois de la Barre est marqué par des peuplements qui ont naturellement colonisé un milieu transformé par l’homme au moment de son exploitation pour la pierre meulière. Le sous bois totalise 165 espèces végétales. Il offre de belle étendues de plantes printanières : Jacinthe des bois, Ficaire, Fausse renoncule, Anémone des bois…

Les zones de coteau calcaire recèlent l’Orchis mâle.

Parmi la faune, il est possible d’observer des mammifères comme le Chevreuil, le sanglier, la Martre, le Blaireau, mais aussi dans les mares une espèces protégée en France : la Salamandre tachetée.

C’est au début du 19 e siècle que l’activité meulière fertoise s’industrialise, les carrières du Bois de la Barre vont prendre de l’essor. On abandonne la fabrication des meules d’un seul bloc, dite «monolithes», pour se tourner vers la production de meules dites «anglaises». Cette innovation introduit une méthode d’assemblage de plusieurs morceaux : les carreaux, autour d’une seule pièces centrale : le boitard. En 1837, les entreprises Gaillard, petit & Halbou, Vieille Gatelier fondent la Société du Bois de la Barre.

Vers 1900, le commerce des meules de pierre décline, les carrières de la Barre connaissent une ultime reconversion grâce à l’extraction de pierres destinées à la construction. C’est l’époque de l’expansion de la banlieue de Paris et de ses pavillons en « meulière ».

D'après le site internet de la ville de La Ferté sous Jouarre, capitale mondiale de la meulière.   

Prochaine balade Dimanche 31 Juillet

"du rivage à la forêt"

Rendez-vous 9h 50 Parking de l'église de Saint Jean les Deux Jumeaux. 

Mort de David Servan-Schreiber, le combattant 
Courrier International Blogs (Blog)
Le clinicien, neuropyschiatre et essayiste David Servan-Schreiber est mort ce dimanche 24 juillet. Rescapé depuis vingt ans d'une tumeur au cerveau, il avait écrit comment lutter "à sa manière". Son dernier livre, qui racontait sa mort future, ...

CLIQUEZ ICI!    Très bel article de Paris-Match, à lire absoluement!.

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Les Greeters? c’est qui?

Le mouvement des Greeters a vu le jour à New York en 1992. Lynn Brooks souhaitait combattre le caractère intimidant de cette grande ville en la faisant découvrir aux visiteurs via les yeux et les habitudes de ses habitants. Les Big Apple Greeters ont ensuite vu éclore d’autres associations suivant leur exemple. En France, le mouvement a été initié par le groupe de Nantes, rapidement suivi par Lyon et Paris. Le réseau international des Greeters, le Global Greeter Network, a été créé en 2005 et compte 15 adhérents dans le monde (Europe, Amériques et Australie). Il sert de plate-forme d’échanges pour les différentes associations, chaque unité restant indépendante dans son fonctionnement.

Qu’est ce qu’ils font?

Les Greeters proposent aux visiteurs de leur faire découvrir la ville dans un esprit de convivialité et comme ils le feraient pour des amis. Ce service est entièrement gratuit et fonctionne sur la base du bénévolat.

Les visiteurs peuvent remplir un questionnaire dans lequel ils indiquent entre autres leurs centres d’intérêt, ce qu’ils connaissent de la ville, ce qu’ils souhaitent découvrir… L’association propose alors un rendez-vous avec un Greeter qui va accompagner les visiteurs pour quelques heures. Les réservations doivent se faire au moins 15 jours à l’avance.

Vous voulez devenir Greeters?

Les volontaires s’inscrivent sur le site des Greeters de leur ville et remplissent un questionnaire cernant leurs intérêts et connaissances de la ville. Ces habitants s’engagent alors à ne pas être de simples guides mais des accompagnateurs hors des sentiers battus par le tourisme classique.

C’est du tourisme autrement ?

Mis en avant, les échanges, les rencontres et une nouvelle vision du tourisme. Les habitants sont des agents touristiques hors pair possédant une mine d’informations précieuses et originales sur leur ville. « Les habitants sont les ambassadeurs de leur ville. » L’objectif n’est pas de remplacer les professionnels du tourisme et les guides traditionnels. L’action est complémentaire.

D'après le site Internet www.tourismeautrement