LES BALADES DE CHANTAL
e-mail : chantal.schuller1@orange.fr
Jeudi 25 Juin 2020, en revenant de la pointe de la Torche, nous nous sommes arrêtés à la Chapelle de Tronoën.
Calvaire et chapelle de Tronoën | ||
Le calvaire et la chapelle |
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Présentation | ||
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Culte | Catholique romain | |
Type | Chapelle | |
Protection | Classé MH (1894, 1907, calvaire puis chapelle) | |
Géographie | ||
Pays | France | |
Région | Bretagne | |
Département | Finistère | |
Ville | Saint-Jean-Trolimon | |
Coordonnées | 47° 51′ 22″ nord, 4° 19′ 42″ ouest | |
Géolocalisation sur la carte : Finistère
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Notre-Dame-de-Tronoën est une chapelle de pèlerinage du XVe siècle qui dépend de la commune de Saint-Jean-Trolimon, en Pays Bigouden. Elle est située dans la baie d'Audierne, qu'elle domine à 30 mètres de hauteur, à 5 kilomètres au nord de Saint-Guénolé et de Penmarc'h dans le Finistère sud. Elle est célèbre par son calvaire, le doyen des grands calvaires bretons.
Mes sources : http://wikipedia.org
Chantal Schuller-Rochet.
Bonjour à tous et toutes.
Notre association mère " Sammeron Vie Locale " a stoppé toutes ses activités jusqu'en Septembre 2020.
En conséquence, aucune balade n'est programmée par notre section " les balades de Chantal ".
Nous vous tiendrons informés via le blog de Chantal.
Chantal Schuller-Rochet, de la part de Catherine et Brigitte.
Dans le Pays de l'Ourcq et le Multien.
Vendredi 22 mai 2020 en après-midi (balade privée).
Pour ma 2ème balade depuis le déconfinement, j'ai choisi comme destination " LE MOULIN DE CHOISEL "
Départ depuis le parking du camping de Choisel à Courcelles la Roue sur la commune de Saint Cyr sur Morin (77). Le moulin est situé au-dessus du hameau.
Je longe le camping par un chemin plat qui borde un champ de blé de l'autre côté. Au loin, j'aperçois les dernières maisons de Courcelles la Roue (la roue pour nous rappeler l'existence d'un moulin à grande roue mue par l'eau en-dessus).
Progressivement je prends de la hauteur et arrive au moulin.
" Placé à mi-côte, à une altitude de 85 m, ce moulin bénéficie du torrentueux ru de Vrou. Sa présence est déjà attesté en 1592, quand ses propriétaires, les abbesses de Jouarre, font un bail de neuf ans à son meunier, par ailleurs laboureur aux Louvières. La constance du débit est assurée par un bassin, toujours existant, situé en amont. Il cesse une première fois de fonctionner au début du XVIIIème siècle. Vendu comme bien national en 1793, il est remis en état par un meunier jusqu’en 1795, date de son arrêt définitif.
*A partir de cet endroit le ru de Vrou qui allimente le moulin change de nom et s’appelle maintenant le ru de Choisel.
Choisel est un nom de moulin, très répandu dans certaines parties de la France.
En ancien français, le mot Coisel, du gallo-romain « CAUCELLU » dérivé diminutif du latin caucum «coupe» avait différentes significations; il a désigné en particulier l’auget recevant l’eau actionnant la roue motrice du moulin, d’où l’appellation de moulin de choisel.
Assez fréquemment, le terme générique moulin a entièrement disparu, laissant la place au type simple mieux attesté Coisel, parfois altéré en Cloisel, sans doute d’après le mot cloison, ou Choisel.
* Et évidemment, dans de nombreux cas, le nom du moulin est passé au ruisseau sur lequel il était situé.
Sur les communes de Saint Cyr et Saint Ouen sur Morin, il existe d'autres moulins :
le moulin d'Archet, de Biercy, de Busserolles, du ru de Vrou, de Chavigny, du presbytère, de Saint Ouen. "
Mes sources : Article écrit grâce à mes recherches et à l'aide de l'ouvrage "Flâneries en Brie" Association Terroirs de St Cyr sur Morin.
Chantal Schuller-Rochet.
Plonéour-Lanvern, le 13 Mai 2020.
Bonjour,
J'ai interrogé l'Office National des Forêts au sujet de balades et randonnées dans les bois.
Je viens de recevoir une réponse de l'O.N..F. me transmettant le lien ci-dessous.
Les sorties en forêt sont autorisées depuis le 11 Mai, seul, en famille, en groupe d'amis et sorties organisées par associations avec un maximum de 10 participants, tout en respectant les gestes barrières.
Voir les informations ci-dessous recueillies pour vous par Chantal Schuller-Rochet.
Merci Florence, via Facebook.
Chantal Schuller-Rochet.
ça se passe à Ussy. N.B.
A l’écoute de Josette HAYDEN (née Juliette Géraud) veuve du peintre HENRI HAYDEN (1883-1970)
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Propos recueillis par Paule Savane, Présidente A.S.U., Marthe Ridart et Yvonne Ampen,
membres de l’Association pour la Sauvegarde de Ussy
Le 11 Octobre 1997 à REUIL en BRIE
Quand j’étais enfant, je venais à Mareuil sur Ourcq, chez une amie de pension, puis ce fut le mariage avec Henri Hayden.
Je suis revenue à Mareuil, chez les amis, et puis nous fûmes « en panne » un été.
BECKETT avait déjà sa maison à Ussy (1) ; nous avons loué d’une chambre à l’hôtel des Pêcheurs (1954). Hayden a aimé la région et chaque année, on louait quelque chose. Ainsi 2 ou 3 ans, à Fay le Bac, maison en location de Mme François. On allait alors chercher le journal à Sammeron par le bord de Marne. Puis ce fut à Changis, puis au Limon (3 ans).
Beckett, lui, était déjà sur place. Il avait été en location rue de la Dehors, et avait acheté un terrain en 1950 et fait construire, et continuait à venir seul, et il y venait travailler... ... ...
Pour lire la suite, visitez le site internet de l'Association de Sauvegarde d'Ussy sur Marne en cliquant sur le lieu ci-dessous.
https://asu77ussy.fr/index.php/2020/05/11/a-lecoute-de-josette-hayden/
Article recueilli pour vous par Chantal Schuller-Rochet
Vous trouverez ci-dessous une lettre écrite le 30 Avril 1687 par Mme de Sévigné à sa fille Mme de Grignan.
Paris est confiné pour cause d'épidémie.
Merci à Marie-Hélène Bourniche qui nous l'a transmise via Facebook.
L’artiste, mort samedi à Paris à l’âge de 70 ans, a connu une carrière internationale. Sa chanson en langue berbère « Vava Inouva » a fait le tour du monde.
Idir, le 26 mai 2011 à Rabat (Maroc). FADEL SENNA / AFP
Le chanteur Idir, qui fut l’un des principaux ambassadeurs de la chanson kabyle à travers le monde, est mort, samedi 2 mai, à l’âge de 70 ans, a annoncé sa famille sur les réseaux sociaux. Hospitalisé vendredi à Paris, il a succombé à une maladie pulmonaire et devrait être enterré en région parisienne, selon son entourage.
« Nous avons le regret de vous annoncer le décès de notre père [à tous], Idir, le samedi 2 mai à 21 h 30. Repose en paix, papa », est-il écrit dans un message publié sur la page Facebook officielle du chanteur, installé en France.
« J’ai appris avec une immense tristesse la nouvelle du décès » d’Idir, « une icône de l’art algérien », a salué dans un tweet le président algérien, Abdelmadjid Tebboune. « Avec sa disparition, l’Algérie perd un de ses monuments. »
Malgré une discographie peu abondante, avec sept albums studio depuis A Vava Inouva (1976), portant le nom de son plus fameux titre, diffusé dans 77 pays et traduit en quinze langues, plus une compilation et un enregistrement public, il est devenu l’un des ambassadeurs de la communauté kabyle. Il remplissait les salles, où qu’il passe. Sa popularité dépassait ainsi largement la communauté. De lui, le sociologue Pierre Bourdieu disait : « Ce n’est pas un chanteur comme les autres. C’est un membre de chaque famille. »
Fils de berger, né le 25 octobre 1949 à Aït Lahcène, un village de Kabylie, Idir — de son vrai nom Hamid Cheriet — fait figure de héros pour la communauté kabyle, dont il n’a eu de cesse de défendre l’identité et la culture.
Alors qu’il se destinait à être géologue, un passage en 1973 sur Radio Alger change le cours de sa vie : il remplace au pied levé la chanteuse Nouara et sa chanson en langue berbère Vava Inouva fait le tour du monde à son insu pendant qu’il fait son service militaire. « Je suis arrivé au moment où il fallait, avec les chansons qu’il fallait », racontait en 2013 à l’Agence France-Presse Idir, imprégné dès son enfance par les chants qui rythmaient tous les moments de la vie quotidienne.
Quand il quitte l’Algérie pour venir s’installer à Paris, en 1975, c’est sur la suggestion de la maison de disques Pathé Marconi. Il avait terminé son service militaire, ses études (DEA de géologie), alors pourquoi pas quitter ce pays « avec un seul parti, un seul journal, où l’on nous envoyait des profs pour nous enseigner les fondements du marxisme et faire de nous de parfaits petits révolutionnaires », raconte-t-il. « Je suis venu enregistrer un 33-tours avec A Vava Inouva, qui a bien fonctionné, et j’ai commencé à envisager de rester ici puisque la chanson m’avait choisi, mais toujours avec une valise prête à partir dans ma tête. »
Il disparaît de la scène pendant dix ans de 1981 à 1991, mais sa carrière est ensuite relancée. En 1999, il publie l’album Identités, sur lequel il chante avec Manu Chao, Dan Ar Braz, Maxime Le Forestier, Gnawa Diffusion, Zebda, Gilles Servat, Geoffrey Oryema et l’Orchestre national de Barbès. En 2007, il avait publié l’album La France des couleurs, en pleine campagne pour l’élection présidentielle française marquée par des débats sur l’immigration et l’identité.
Après une absence d’une trentaine d’années, le baladin kabyle a présenté en tournée son album Ici et ailleurs, composé en majorité de duos, en 2017.
Dans une interview au Journal du dimanche, en avril 2019, il évoquait les manifestations populaires en Algérie et le départ d’Abdelaziz Bouteflika :
« J’ai tout aimé de ces manifestations : l’intelligence de cette jeunesse, son humour, sa détermination à rester pacifique (...) J’avoue avoir vécu ces instants de grâce depuis le 22 février comme des bouffées d’oxygène. Atteint d’une fibrose pulmonaire, je sais de quoi je parle. De toute façon, nous sommes condamnés à réussir. Continuons donc à réfléchir en termes de nation algérienne vers le progrès. Si nous restons unis, rien ni personne ne pourra nous défaire ».
Mis en ligne pour vous par Chantal Schuller-Rochet.
Mes sources : Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 03h42, mis à jour à 07h53.
Droit à l'image.
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Merci de votre visite.
ASSOCIATIONS,
des acteurs anti-crise.
Il y a quelques années les responsables du Mouvement Associatif ont lancé une campagne :
« Que serait la vie sans les associations ? » Imaginez un peu : qui aiderait à domicile nos personnes âgées ? Qui ferait faire du sport à nos enfants ? Où seraient accueillis les handicapés ? Que deviendrait le spectacle vivant ? Qui défendrait l’environnement ? Il y a en France 1 100 000 associations qui mobilisent près de 14 millions de bénévoles, emploient près de 2 millions de salariés, qui réalisent un volume de travail de plus de 1 100 000 ETP (Equivalent Plein Temps) et consolident un budget de 60 milliards d’euros. Elles sont le capital social de notre pays.
- Créer quelque chose.
... La liste des engagements bénévoles de Chantal Schuller est encore longue, et quelques lignes ne suffiraient pas à faire le tour du parcours de cette ancienne employée de banque, mère de deux filles, qui n'a jamais cessé d'oeuvrer au service des autres : bénévole dans une association de parents d'élèves, création d'une bibliothèque pour les enfants, secrétaire puis trésorière d'une association municipale et bien d'autres missions encore. Jusqu'au jour où Chantal s'est enfin décidée à créer sa propre association : "A 55 ans, j'ai voulu voler de mes propres ailes et avec trois amies nous avons déclaré Evasion Rando, qui comme son nom l'indique, propose des randonnées pédestres". Chantal Schuller est infatigable : "Par moments, je suis un peu débordée, mais je n'ai jamais eu l'idée de calculer le temps passé pour le bénévolat. Le bénévolat m'a bercé tout au long de ma vie et ce n'est pas fini. Ca m'a beaucoup apporté, parfois quelques déceptions c'est sûr mais énormément de satisfactions. Je me suis rendue utile. J'ai beaucoup donné aux autres mais aussi beaucoup reçu en retour. J'ai pu grâce au bénévolat créer quelque chose.
Chantal Schuller.
* Cliquez sur la ligne ci-dessous et ensuite sur :"voir tous les témoignages", vous aurez accès à l'intégralité de celui de Chantal.
Journée internationale des bénévoles 2008.
(associations.gouv.fr)
Pour les urgences.
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, on ne sait jamais qui contacter dans ces listes interminables de contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun d'entre nous rentre dans son répertoire, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme. Le pseudonyme international connu est « ICE » = In Case of Emergency.