LES BALADES DE CHANTAL
e-mail : chantal.schuller1@orange.fr
Matériaux | pan de bois |
Datation | : 1650 - XIXe siècle |
Le château est construit en 1670 par le prince Charles de Lorraine, duc d'Elbeuf, seigneur de Lillebourne et de Villemareuil. En 1757, un incendie le détruit. Deux corps de bâtiment disparaissent, ainsi que la chapelle. Le domaine demeure pendant un siècle entre les mains de la même famille avant de devenir possession en 1751 de la gouvernante de Louis XVI, Mme de Marsan, et de ses frères. Pendant la Révolution, comme de nombreux biens appartenant aux nobles, ce château est confisqué et vendu comme bien national. Aux XIXe et XXe siècles, il est l'apanage de la famille d'Avène, dont le vicomte est également le maire du village au début du XXe siècle. Il est considérablement restauré à la fin du XIXe siècle.
Mes sources : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-brinches-villemareuil
P.S Je sais qu'il appartient maintenant à la famille Salgues de Plinval.
Chantal.
Château de Montceaux | |||
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![]() Château de Montceaux au 17è siècle | |||
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Période ou style | Renaissance | ||
Type | Château | ||
Début construction | XVIe siècle | ||
Fin construction | XVIIe siècle | ||
Protection | ![]() Toutes les parties bâties et non bâties liées au château | ||
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Latitude Longitude | [1] | ||
Pays | ![]() | ||
Anciennes provinces de France | Île-de-France | ||
Région | Île-de-France | ||
Département | Seine-et-Marne | ||
Commune française | Montceaux-lès-Meaux | ||
Géolocalisation sur la carte : France | |||
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Le château de Montceaux[2],[3],[4] était situé en Seine-et-Marne, dans la commune de Montceaux-lès-Meaux. Il fut acquis au XVIe siècle par Catherine de Médicis qui en confia l'embellissement à Philibert Delorme. D'autres artistes, tels que Jacques Androuet du Cerceau, le Primatice ou Salomon de Brosse participèrent aux transformations successives et aux décorations de la propriété. Racheté par Henri IV, il fut offert à Gabrielle d'Estrées puis devint la propriété de Marie de Médicis à l'occasion de la naissance de Louis XIII.
Détruit peu d'années après la Révolution, il en subsiste aujourd'hui quelques ruines ainsi qu'une chapelle, les bâtiments de l'avant-cour transformés en maison bourgeoise et la partie est du château devenue un corps de ferme. Un parc dit du château de Montceaux en conserve également la mémoire.
Sommaire |
Sa construction a commencé vers 1520 par la famille Saligaut ou Saligot. Un acte de 1504 indique que Michel Saligaut, seigneur de Monceaulx et de Montretout en Brye, s'engage à fonder une chapelle dédiée à la Vierge au "chasteau dudit Montcealx".
Sa petite-fille, Marie Saligaut, l'apporta en dot en 1531 au notaire et secrétaire du roi Jean Laguette. Enrichi grâce à sa charge de "receveur des finances extraordinaires et des parties casuelles", il put en 1544 faire reconstruire le château de Montceaux. Il fait élever un corps de bâtiment avec pavillons d'angle, une aile avec une grande salle et une chapelle en pierre et brique. En 1546, il demanda au maître maçon Pierre Desilsles de rehausser "un vieux corps d'hostel" du château construit par les Saligaut et repeindre sa façade en briques simulées. En 1547, il faisait couvrir une galerie longues de 50 m et large de 6m. Le château est alors un quadrilatère avec quatre pavillons d'angle et entouré de douves. Le corps de logis comprend un pavillon central avec un escalier à rampes droites. Le château comprenait une façade à deux niveaux sur laquelle sont réalisés des pilastres en pierre de taille dont les chapiteaux doivent être de style dorique au rez-de-chaussée et de style ionique à l'étage. L'architecte, inconnu, a prévu de séparer les étages par un entablement avec triglyphes pour l'ordre dorique et avec enroulements pour l'ordre ionique. C'est la première application en France du système indiqué par Vitruve et enseigné par Sebastiano Serlio qui se trouve à Fontainebleau depuis 1541.
Est-ce la construction qui attira l'attention du roi et la chute de Laguette, toujours est-il qu'en 1555, Jean Laguette, accusé de malversations, doit céder le château à peine achevé au roi Henri II. En 1556, il l'offre à la reine Catherine de Médicis. Catherine apprécie le site.
Rien n'indique qu'elle ait fait autre chose que de réaménager le château à partir de 1558 par l'architecte Philibert Delorme et le menuisier Francesco Scibec de Carpi. Château personnel de la reine, elle voulait y recevoir le roi sans la présence de sa maîtresse Diane de Poitiers.
Elle fait construire au bout de l'allée du "Mail" (où on peut jouer au jeu de pail-mail, c'est-à-dire de croquet), le pavillon de la grotte, en 1557. Du côté du Mail une loge permettait de regarder les joueurs. En construisant ce pavillon avec une façade à l'ordre colossal, Delorme a essayé de rivaliser avec la grotte construire par Le Primatice au château de Meudon. Après la mort accidentelle du roi, la reine mère y fait de nombreux séjours. Le plus célèbre étant celui de septembre 1567 au cours duquel se déroule le complot appelé "surprise de Meaux" qui prévoyait qu'une troupe de huguenots enlève la reine et son fils. Il a été rapidement déjoué.
Après être passé entre les mains des créanciers de Catherine de Médicis après sa mort, le château est acheté le 25 mars 1596 par Gabrielle d'Estrées pour 39 000 écus, probablement offerts par le roi Henri IV à sa maîtresse. Il avait apprécié le château où il s'était déjà rendu en septembre 1594 et mars 1595 avec sa maîtresse. Le 31 janvier 1596 il y reçoit le duc de Mayenne, rentré en grâce.
Il donne à Gabrielle d'Estrées le titre de marquise de Montceaux.
Gabrielle d'Estrées qui se voit future reine de France entreprend de reconstruire le château. En 1597, elle confie les travaux à Jacques II Androuet du Cerceau. C'est un château construit sur un terre-plein carré cerné de fossés avec des pavillons aux angles à simple rez-de-chaussée et toit à l'impériale. Un des marchés de ces pavillons est confié à Jean de l'Orme et Rémy Collin en décembre 1598. Il en subsiste deux du côté de l'entrée. Le château forme un quadrilatère avec des façades adoptant l'ordre colossal. Il est commence rapidement la reconstruction, à partir de 1596, sur les anciennes fondations du château de Jean Laguette. Il comprend quatre pavillons d'angle, une aile basse du côté de l'entrée avec une galerie côté cour et un pavillon d'entrée en son milieu. On commence l'avant-cour. Le corps de logis est refait avec les pavillons d'angle mais les ailes du château de Laguette sont conservées provisoirement. Mais en 1599 Gabrielle d'Estrées meurt subitement. Le corps de logis et les pavillons sont presque terminés.
Henri IV offre le château à sa femme, Marie de Médicis, en 1601, après la naissance du Dauphin. Les travaux continuent lentement à partir de cette date, mais en 1608 ils sont confiés à Salomon de Brosse, neveu de Jacques II Androuet du Cerceau. Il apporte quelques changements au projet de son oncle. Une grande salle de bal est aménagée dans l'aile gauche. L'étage du pavillon d'entrée est converti en chapelle. Après que la reine a décidé de construire le Palais du Luxembourg, les travaux s'arrêtent en 1622.
Le château propriété de la Couronne est donné en 1783 au prince de Conti qui a transformé un pavillon d'entrée en pavillon de chasse. Confisqué comme bien national en 1793, sa démolition commença en 1799 ne laissant subsister que quelques éléments de l'avant-cour et des ailes du château.
Aujourd'hui il ne reste plus que des vestiges et des ruines de ce château royal.
Mes sources : Wikipédia.
Chantal
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ASSOCIATIONS,
des acteurs anti-crise.
Il y a quelques années les responsables du Mouvement Associatif ont lancé une campagne :
« Que serait la vie sans les associations ? » Imaginez un peu : qui aiderait à domicile nos personnes âgées ? Qui ferait faire du sport à nos enfants ? Où seraient accueillis les handicapés ? Que deviendrait le spectacle vivant ? Qui défendrait l’environnement ? Il y a en France 1 100 000 associations qui mobilisent près de 14 millions de bénévoles, emploient près de 2 millions de salariés, qui réalisent un volume de travail de plus de 1 100 000 ETP (Equivalent Plein Temps) et consolident un budget de 60 milliards d’euros. Elles sont le capital social de notre pays.
- Créer quelque chose.
... La liste des engagements bénévoles de Chantal Schuller est encore longue, et quelques lignes ne suffiraient pas à faire le tour du parcours de cette ancienne employée de banque, mère de deux filles, qui n'a jamais cessé d'oeuvrer au service des autres : bénévole dans une association de parents d'élèves, création d'une bibliothèque pour les enfants, secrétaire puis trésorière d'une association municipale et bien d'autres missions encore. Jusqu'au jour où Chantal s'est enfin décidée à créer sa propre association : "A 55 ans, j'ai voulu voler de mes propres ailes et avec trois amies nous avons déclaré Evasion Rando, qui comme son nom l'indique, propose des randonnées pédestres". Chantal Schuller est infatigable : "Par moments, je suis un peu débordée, mais je n'ai jamais eu l'idée de calculer le temps passé pour le bénévolat. Le bénévolat m'a bercé tout au long de ma vie et ce n'est pas fini. Ca m'a beaucoup apporté, parfois quelques déceptions c'est sûr mais énormément de satisfactions. Je me suis rendue utile. J'ai beaucoup donné aux autres mais aussi beaucoup reçu en retour. J'ai pu grâce au bénévolat créer quelque chose.
Chantal Schuller.
* Cliquez sur la ligne ci-dessous et ensuite sur :"voir tous les témoignages", vous aurez accès à l'intégralité de celui de Chantal.
Journée internationale des bénévoles 2008.
(associations.gouv.fr)
Pour les urgences.
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, on ne sait jamais qui contacter dans ces listes interminables de contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun d'entre nous rentre dans son répertoire, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme. Le pseudonyme international connu est « ICE » = In Case of Emergency.